
Avec l’excitation des vacances #MissJ à tendance à faire la sieste un jour sur deux.
Ça ne l’empêche pas de se coucher à pas d’heure mais comme on règle notre rythme sur le sien, on s’en fiche un peu .
Sauf cet après-midi là, en promenade sur la plage. Ce jour là il ne lui a pas fallut 15m pour s’endormir … sur les épaules de son père
D’abord on a été un peu surpris, car on ne pensait pas qu’elle puisse s’endormir dans cette drôle de position. Puis il n’a pas fallut longtemps pour qu’on se mette à gagatiser
Car oui, cette grande fille qui va fêter ses 2 ans avec ses copines, parle comme une pipelette et fait régner l’ordre et (sa) justice dans son entourage, reste un encore un bébé qui a besoin de ses pauses tendresse et de siestes impromptues pour régénérer ses batteries.
J’adore cette contradiction que je trouve touchante et si propre à cet âge charnière que sont les 24 mois.
Ni tout à fait un bébé, ni tout à fait un enfant. On parle de « bambin » mais je trouve que ça ne matérialise pas assez la bascule entre le bambin et le jeune enfant ; celui capable de remettre à leur place les adultes qui ne leur accorde pas le statut de « personne à part entière ».
Cette photo je pense que je ne vais pas tarder à la faire imprimer car elle est un très beau symbole de cette charnière qui me rend toute chose
Je suis ravie de voir ma MissJ grandir mais je resterais toujours nostalgique de chacune de ses étapes qui la pousse un peu plus loin de mes bras …
Hello ! Je tombe avec quelques jours de retard sur ce billet plein de poésie… je me souviens avoir ressenti les mêmes choses pour mon aînée quand elle avait 2 ans. Elle était déjà si autonome, et encore si petite. Eh bien aujourd’hui encore, quand je regarde les photos de cette période, je trouve que ce moment de paradoxe se VOIT à l’oeil nu. Au moins, on ne l’oubliera pas
Je crois que je ne m.habituerais jamais au temps qui passe sur les enfants. Il y a deux jours c était un bébé et depuis septembre elle passe son temps à me demander quand est ce qu elle va a l école