
Il n’aura échappé à personne que « ça caille nom d’un ch***n! »
Et en bonne maman débutante on doit s’adapter aux besoins hivernaux de nos petits bouts.
Ici ça a commencé il y a 2 mois quand je me suis mise à chercher une chancelière.
Je voulais de la polaire ou du mouton, mais surtout quelque chose de facile à nettoyer.
Et coup de bol, ça coïncidait avec la sortie officielle des nouvelles chancelières Babyzen.
La boutique de Paris n’en avait reçu que 4 de chaque nouveau coloris et je me suis jetée dessus pour avoir le modèle assorti à notre poussette verte.
D’ailleurs maintenant que tout le monde nous a copié (en adoptant le coloris Peppermint ) je suis bien contente d’avoir mis la main sur la chancelière assortie ; car je n’ai vu personne qui ai le combo : habillage vert + chancelière verte.
Ouf, l’honneur est sauf ! Car dans une ville où 60% des parents ont la même poussette que moi, c’est bien pratique de pouvoir la repérer au 1er coup d’œil
évidement ce énième accessoire Babyzen m’a encore coûté une fortune mais le jeu en valait la chandelle : c’est confortable, facile à vivre, et je peux empacter #MissJ dedans, avec différent niveau de couverture (du « couvre toi les pieds » au « maki-sushi de bébé »).
Et certains matins j’avoue que j’échangerais volontiers ma place contre la sienne !

Encore que cette histoire de chancelière ça marche quand on la met dans la poussette… Mais vous avez déjà essayé de mettre des moufles et un bonnet à un bébé de 12 mois ?! Au début j’ai réussi à les lui mettre avec un petit côté ludique (« tu as vu, maman met un bonnet. Et toi, tu mets ton bonnet? »). Mais passé les 5 premières fois où ça l’a amusé, c’est devenu une vraie gageure !
Elle se débat tellement qu’on dirait qu’on lui impose de porter des vêtements cousus d’épines
Alors du coup on lui a appris (avec difficultés) à mettre les mains dans la chancelière. Puis a mettre ses moufles. Mais même à 14 mois elle n’y arrive toujours pas.
Du coup on a improvisé : on lui donne un bout de pain chaud désormais si on doit rester dehors et qu’on n’arrive pas à couvrir ses mains trop froides après le parc